Nombre de messages : 10 Age : 34 Âge : 19 ans Emo Girl/Boy ? : Sa se voit comme même. Mon dieu tu me vexes! Taille x) : Police! pervers à 3 heures! Date d'inscription : 23/07/2009
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Sujet: Je rêve n'est-ce pas?! [PV Wyatt] Jeu 13 Aoû - 21:24
S.U.J.E.Twith Wyatt " Je rêve n'est-ce pas?!"
J'ai le pressentiment que cette nuit va être une nuit agréable That tonight's gonna be a good night Que cette nuit va être une nuit agréable That tonight's gonna be a good good night Que cette nuit va être une nuit agréable
Tonight's the night Ce soir c'est la nuit Let's live it up Profitons
Go out and smash it Sortons et déchirons tout Like oh my god Comme jamais Let's get get off Déchainons nous
I know that we'll have a ball Je sais qu'on va s'éclater If we get down Si on bouge And go out Et qu'on sort And just loose it all Et fonçons simplement
I feel stressed out Je suis stressé I wanna let it go J'essaye de me lâcher Lets go way out spaced out Allons-y dispersons-nous And loosing all control Et perdons tout contrôle
Je crois qu’on a tous besoin à un moment de notre existence de prendre du recule face au reste du monde, de tout laisser tomber, de tout oublier au moins l’espace d’une nuit. Faire en sorte que le passé et que le futur n’existe pas juste pour une soirée au moins, qu’on n’ait aucun devoir à accomplir et que personne ne nous attend quelques parts. Parce qu’il existe des moments où tout devient trop lourd à porter, on a envie de se détacher du reste du monde et de pouvoir être n’importe qui, juste pour une fois, juste un petit peu, pour changer. Je soupira doucement et remonta la longue rue qui menait à la place. En même temps, comment pourrais-je être n’importe qui si nul l’est ? Je suis tout sauf n’importe qui, je le serais toujours, mais cette réalité n’est pas facile à digérer. Qui n’a pas envie d’être le mec sans histoire et sans passé ? Qui n’a jamais rêvé, d’être un jour, ce gars qui peut se vanter d’avoir une petite vie tranquille ? Je resserre la lanière de ma guitare, accroché à mon dos et sort bientôt de cette rue déserte, enfin je pensais ne jamais revoir la civilisation. Je tombe en face d’une gigantesque place remplie de monde. J’observe la mêlé, les pauvres en plein milieu des riches, les bourges sur leurs pieds, les autres assis par terre à désespéré. Sa me dégoûte dans un sens, mais c’est ainsi non ? Je voudrais me dire la même chose que les autres, c’est comme ça et on y peut rien. Mais savoir qu’il y a quelques années encore, j’étais dans le même état pouilleux que ses jeunes qui font la manche, qu’il y a quelques années, je passais mon temps à regarder le monde tourner avec l’impression d’avoir été oublier m’empêche de me dire que je devrais passer mon chemin. Je marche encore un petit peu. Mes doigts encerclent le goulot d’une bouteille de vodka que je porte à mes lèvres. Elle est pratiquement à moitié vide, comme je suis déjà à moitié hors de contrôle. Je sens mon regard devenir de plus en plus flou et mes jambes fléchir légèrement d’ailleurs je manque de trébucher mais très vite, je retrouve mon équilibre, presque habituelle. Je lève les yeux et me laisse tomber sur un banc, Laissant ma tête basculer en arrière tendit que je porte la bouteille de nouveau à mes lèvres. « Tient une tafiole… » Je relève mon visage rapidement, répondant presque tu tac au tac.
« Tient un connard. »
Je jette un regard noir à la bande qui vient de débarquer pour foutre en l’air ma nuit, ils sont habillé d’un bat de survêtement, un t-shirt par-dessus et pour deux d’entre eux, c'est-à-dire la moitié une casquette sur la tête qui ne doit pas servir à grand-chose. Je me lève, remettant Ma guitare mon dos et attend, patiemment. Que voulez-vous que je fasse d’autre, que je leurs montre que j’ai peur alors que c’est faux ? Une voiture pourrait me foncer dessus, que dans l’état où je suis, je ne verrais pas arrivé le danger. L’un d’entre eux commence à m’insulter, tellement rapidement que je ne comprend pas grand-chose, j’hausse un sourcils surpris et soupire d’ennuis…certaines personnes n’ont vraiment rien à faire. « T’a un soucis la tapette ?! »
« Oui toi, c’est fou comme tu te donnes en spectacle, jouant ton beau alors que tu as besoin de tes trois potes pour faire le fort…surtout devant une tafiole qui est solo… »
Je crois que si il n’y avait pas autant de monde qui s’arrêtais pour regarder ce qu’il se passe par ici – en notant que ma coupe de cheveux, mon look et celui de mes interlocuteurs doit beaucoup jouer – je me serais fais tabasser jusqu’au sang. Mais je sais qu’il ne le fera pas, il a trop peur des conséquences…Il serre le poing, ses potes lui demande de se calmer, lui dises que je suis bourré et que de toutes manière, sa n’en vaut pas la peine, mais il ne veut rien savoir. Absolument rien. Mon dieu, que l’être humain est têtu. Tendit qu’ils se « disputent » je bois de nouvelles plusieurs gorgées. « Tu causes la fiotte mais t’as aucun courage, t’es capable de rien, regarde y’a du monde là, alors va y, montre nous que tu en as dans le calbut et que t’as aucune limite. En traître, t’es bon qu’à s*cer les autres. » Je grogne, j’ai un mal de crâne atroce c’est fou, tendit que je me masse les tempes, je remarque qu’effectivement, nous sommes entouré de monde. Je regarde les gens tour à tour et laisse mes yeux glisser sur le gars en face de moi. Il est sérieux ? Je soupire, baisse les yeux et me dirige lentement vers le banc où je dépose mon guitare, lâchant un passage un « personne n’y touche c’est mon bébé » et me retourne de nouveau vers la bande. Ses potes se sont mit en recule. En même temps, ils sont en plein milieu des attentions. Je suis pas sûr que c’est cette soirée qu’ils avaient prévu…moi non plus en passant.
« A condition que tu montres aussi que t’en as. T’es sûr de ne pas être une « tafiole » comme tu dis ? Clair ? Net ? Ok dans ce cas désape toi, sa risque pas de te déranger. Moi non en tous cas. »
Evidement que sa ne me dérange pas. Je ne sais même plus ce que je suis en train de faire. J’enlève mon t-shirt et le jette sur le banc, puis relève les yeux lentement, le gars me lâche un « t’es fou, je suis capable de tout » et retire son t-shirt…il a un débardeur encore en dessous, moi je suis déjà torse nue. Les filles sifflent comme elles le peuvent, les gars ricanent, les gens s’amusent et moi je me sens un peu perdue en plein milieu de tout ça. Mais je fais. Parce que sa ne compte pas. Ce soir les conséquences ne compteront pas.
« T’es capable de tout enlever l’hétéro ? Fait volé le débardeur aussi, fait pas ton timide, bientôt tu seras à poil alors… »
Honnêtement, après ça, je compte bien aller dans un coin où il n’y a personne. Le gars enlève son t-shirt, je rigole, il grimace d’un air contrarier. Ho mais c’est qu’il est bien foutue en plus, je passe ma langue sur les lèvres et brusquement il s’énerve « Ho tire pas cette tête toi ! »
« Je tire la tête que je veux je m’en fou. »
J’enlève mes pompes et ma ceinture, avant de boire encore quelques gorgées de vodka finissant la bouteille. Mon dieu, je sens même plus mes jambes là. La foule autours de nous nous encourage à continuer comme ça. Ils doivent se régaler, et moi je m’éclate ? Ouai je crois, parce que à en croire les joues rougies de l’homophobe, il a de plus en plus de mal avec cette situation. Il fait la même chose que moi et baisse les yeux, se mordant le bout des doigts. Je rigole une nouvelle fois, il me jette un regard noir auquel je ne fais pas attention. Finalement, il doit penser que se battre contre moi, malgré le monde, c’était mieux que ça. Je défais le bouton de mon slim et la braguette, baissant le jean de la manière la plus sensuelle possible, je crois que c’est sensé le déstabilisé parce que je le regarde droit dans les yeux, mais je ne suis plus sûr de rien en ce moment même. Je jette mon jean avec le reste de mes affaires. En boxer, je suis en boxer mon dieu. Si mes amis étaient là, si Alex étaient là, je crois que je serais déjà fais tuer, si ma sœur était là, si elle était vivante, elle aurait ut honte de moi. Mais ils savent tous que je suis accro à l’alcool, comme ils savent tous ses effets néfastes. Des fois, j’ai tendance à me dire que je mourais d’un comas éthylique, sa à l’air d’être la mort la plus logique pour un gars comme moi…mais avant, je veux trouver le bonheur et l’offrir. Après seulement, je me laisserais partir. Je n’aie pas remarqué, mais le gars en face de moi bloque complètement. Je souris d’un air triomphant. Il va craquer, c’est tout prêt.
« Bah alors ? Vite enlève-moi ce pantalon qu’on laisse tomber le calbut par la même occasion. »
Il grogne, baisse à peine son pantalon de sport et durant quelques secondes j’ai un doute. Mince peux être qu’il va le faire finalement… Je tourne la tête et remarque qu’ils sont en haleine. En même temps, des trucs comme ça, y’en a tout les jours ? Bon d’accord, hier j’ai vu une femme en sous-vêtement se promener dans la rue en plein jour mais après…