Je ne suis pas fort , au contraire . [Pv]

Tout sa , cette histoire , c'était trop dur pour moi . J'étouffais , j'ai pris entre deux personnes essentielles à ma vie et je ne pouvais pas choisir . Je préferais en finir , ne plus vivre avec cette culpabilitée . Je n'en pouvais plus . Eux ils pourraient très bien vivre sans moi . Je partirais pour un long voyage aujourdh'ui . Et jamais je ne reviendrais . J'étais là a pleurer comme un pauvre con , contre l'armoire de la salle de bain . Cette lame en main , et les cachets dans l'autre , je les pris d'un coup . Puis je commenca doucement à me lacérer la peau , fermant les yeux en tentant de calmer mes larmes . Les visages de toutes les personnes que j'aimais défilaient dans ma tête . Un gémissement passa la barrière de mes lèvres lorsque le sang se mit à couler . Puis mes snaglots devinrent de plus en plus forts lorsque le visage de Phélis apparut dans mes pensées , puis tout ces moments de bonheur avec Eva . La neige , l'hiver , son rire enfantin lorsque je la chatouillais . Puis ma rencontre avec Phélis , la première fois qu'on s'était embrassés . Je me sentais faiblir et le sang qui coulait de mon bras s'étendait sur le sol tandis que je sentais l'effet des cachets se propager . Finalement , je finirais comme mon père , je n'en étais pas fier , mais je creverais d'amour tout simplement . Et j'espèrais que personne ne me trouve . Je me laissa absorber , la mort était facile , paisible , la vie elle était beaucoup plus dure .

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Un rictus douloureux s'afficha sur mon visage alors que mes pieds me conduisaient n'importe où. De toute manière à quoi bon vouloir aller quelques parts si je ne sais pas où je met mes pieds? Je soupira lentement, relevant mes bras ballant pour froisser la capuche de mon sweet shirt sous mes doigts afin de mettre la capuche sur ma chevelure sombre. Mes doigts restèrent un moment accroché au capuchon avant de s'abaisser lentement pour finalement s'enfoncer dans mes poches. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai comme un mauvais pressentiment, j'ai un horrible goût sur les lèvres et je n'arrive pas à m'en détacher. Jusqu'ici mes yeux étaient baisser, fixant le sol comme si je n'avais pas le droit d'affronter le regard des gens. En même temps, je suis anormalement pâle, comme à chaque fois que je ressors de l'hôpital et que je dois supporter ses traitrements. Je soupire de nouveau et lève lentement les yeux avant de me rendre compte que je connais le coins, mes pieds s'arrêtent face à un appartement et un visage me vint à l'esprit. Wyatt. Quel idée stupide, pourquoi faut-il que j'agisse sans réfléchir? je dois pas le voir, dans plusieurs jours seulement, quand j'aurais récuperer des couleurs. Je m'appretais à partir quand un mauvais pressentiment vint me prendre, serrant mon coeur. Finalement, j'entra dans l'appartement, porte pas fermer, pressentiment encore plus mauvais que je ne l'aurais crus. Je n'enlève pas ma capuche mais laisse mon regard parcourir chaque pièce que je ne connais absolument pas d'ailleurs. Je n'aime pas cette atmosphère, elle est lourde et pesante.
J'ai peur, horriblement peur, mais je ne dois pas flancher pas maintenant.
Un gémissement attire mon attention et mon souffle se coupe quelques secondes.
Que se passe t-il?
D'un pas tremblant je me dirige vers ce qui semble être la salle de bain et là véritable mon souffle se coupe, je me retrouve dans l'incapacité de prononcer un souffle, un son, un mot, rien, rien ne viens. Je le regarde et mes yeux se vident brutalement de tout signe de 'vie'.
Pourquoi est-il dans cette état? Que c'est-il donc passer?Aie-je fais quelques choses de mal?oui encore une fois, j'ai mal fait les choses. Des questions s'entre-choqué dans mon esprit alors que je m'étais approcher de lui. J'aurais voulue lui parler. Lui dire que malheureusement j'étais assez égoiste pour ne pas le laisser mourir prêt de moi. Mais je ne dis rien. Je fouilla juste pour trouver de quoi bloqué le sang qui coule de son bras, ce liquide rouge affreux qui me donne la nausé. Mes doigts glisse sur sa joue. Il est glacial.
J'ai encore plus peur...
Je prend des compresses et les pressent particulièrement fort contre les entailles qu'il s'est fait. J'observe la scène autours de moi, tout me semble que chao et dans mon esprit c'est le vide total...

"Wyatt..."

Ma voix n'était qu'un murmure, un simple murmure...J'ai mal maintenant, et ma peur se mêle à cette douleur attroce qui écrase mon coeur.

Je ferma les yeux , puis j'entendis des pas . Oh non , il ne fallait pas quelqu'un me trouve . Pas tout de suite , laissez moi le temps de mourrir je vous en supplis , laissez moi mourir en paix . Je releva le visage lorsque j'entendis , plus rien en fait . Puis je le vis , du moin embrouillé . Mais je savais que c'était lui , celui qui avait sut faire chavirer mon coeur aussi vite . Je refermai les yeux puis lacha la lame , puis je n'avais plus de force . Je ne sentais plus rien , c'était le néant total . Puis ensuite je sentis mon bras brûler , je lacha un long gémissement puis me laissa complétement tomber ouvrant complétement ma main . Mon souffle était fort , mais d'un coup il se coupa tandis que mon visage qui était tordu par la douleure se fit vide et paisible . Puis j'entendis mon prénom , ce qui me rammena à la réalitée . Je n'allais pas mourir aujourdh'ui . Du moin , je crois.. J'espère qu'il ne pourra pas me sauver , je ne pourrai pas plus affronter la situation ensuite . Je n'en pouvais plus tout simplement . J'étais maintenant blanc comme la neige et glacial . Comme si toute forme de vie avait quitté mon corps . Mais j'étais toujours la , je sentais les compresses contre mon bras . Mais je n'avais plus la force de seulement ouvrir les yeux .

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Je dois te parler du doux cauchemar vivant
Dont je tombe amoureux, chaque nuit, celui qui fait que mon existence est parfois si dénudé de sens. Pourquoi, pourquoi me fait-il ça? Pourquoi décide t-il de me laisser? Lui aussi est assez égoiste pour ne penser qu'à lui? Il m'avait promis, je lui avais dis que j'avais peur qu'il me laisse, il m'avait promis qu'il ne me laisserait jamais tomber. Et me voilà les mains ensanglantées, essayant de faire battre son coeur qui menace de s'etteindre à chaques secondes qui passent. Mon dieu, donnez-moi un signe, dites moi ce que je dois faire, ne me laisser pas comme ça, ne me retirez pas sa vie. Si je dois sortir de son existence après ça, si il vient à me hair pour l'avoir sorti de la mort, je m'en fiche, je veux qu'il vive, je ne veux pas voir quelqu'un mourir de nouveau sous mes yeux en me retrouvant impuissant. C'est trop douloureux de voir les autres mourires alors qu'on sait qu'on n'y peut rien. Je sais que je peux plus faire grand chose, mais je veux croire que je peux encore le sortir de là, l'obliger à revenir. Je dois rester calme, mais je sens la panique s'emparer de chacun de mes membres, pourtant je continue de m'agiter, je serre les compresses sur son bras, les changeants rapidement quand l'une ou l'autre se retrouve coloré d'un liquide rougâtre à l'odeur mécanique. Bientôt je trouve un bandage que j'enserre brutalement et séverement autours de son entaille pour faire cesser l'hémoragie j'empoigne le premier bout de tissus qui me tombe sous la main et le mouille rapidement pour me m'accroupir de nouveau à côté de lui. Mes gestes sont mécanique, je ne fais que reproduire ce que j'ai dans quelques films, je ne fais que refaire ce que j'ai pus voir à l'hôpital, chaque détails insignifiant de mon existence me revient brusquement, tout ce qui pourait me servir à le tenir en vie me revenait. Je ne voulais pas pleurer, même là je voulais avoir le statue d'un garçon fort, j'ai déjà pleurer, il ne faut pas que sa recommence, pourtant les larmes coulent d'elles-même, je les laissent aller, je n'aie le temps d'essuyer rageusement ma joue. C'est sa vie, c'est Wyatt qui est en jeu. Qu'importe ce qu'il a put faire, qu'importe si sa me tuera moi, je m'en fiche, c'est son bonheur. Ce bonheur tellement fragile que j'ai promis de préserver à tout prit. Je sors mon téléphone et appuis sur un bouton. Numéro directe de l'hôpital, on me répond imédiatement, je parle d'une voix faible, j'explique la situation et ils disent arriver très rapidement. J'ai us beaucoup de difficulté à dire ma position, l'endroit exacte de son appartement, mais à croire que je désespoire nous donne assez de force pour que l'on fasse des miracles. J'essaye de voir si son coeur bat encore, comme une voix me demande à l'intérieur de mon esprit, la voix me demande d'aller voir si il respire encore, et mon coeur s'arrête de battre, lui. Je ne sens plus aucun souffle, le temps est compter. Je vais encore perdre quelqu'un sous mes yeux. Je m'en fiche complétement que mes mains soit en sang, je me fiche complétement des larmes qui coulent. J'aurais au moins pleurer pour lui, par pour mon desespoir comme la dernière fois. Mais juste pour lui. A chaque seconde qui passait son coeur battait de moins en moins vite, jusqu'à que le battement devienne presque innexitant.
Dans un dernier élans de désespoire, je pose ses lèvres sur les siennes, essayant de lui donner le souffle dont il a besoin. Mes lèvres ont le goût salé de mes larmes, les siennes sont juste glacial, comme si j'embrassais un cadavre.
Et c'est là que je me dis, que je ne suis qu'un bon à rien, même pas foutue de faire tenir les gens en vie...

Je sentais la vie me quitter peu à peu , mais j'avais mal . C'était normal vu les blessures que je m'étais imposés . Mais ce n'était pas sa , j'avais mal au coeur , je me dégouttais de lui faire sa . Je savais qu'il paniquait en quelque sorte . Et je pouvais sentir ses mains sur moi , sur mon bras . Une grimace de douleur apparut sur mes lèvres lorsqu'il appuya sur mon bras . Puis je fus déconnecté du monde , à ce moment la je compris que c'était bien finis . Je n'entendais plus rien , c'était le néant . Je ne ressentais plus rien . C'était une sensation magique , c'était surement la plus belle chose que j'avais ressentis de ma vie.. Bien que je ne suis pas sur d'être encore en vie . Je sentis quelque chose sur mes lèvres , ce qui me rammena à la réalitée . Je pris une grande inspiration , bien que c'était dur puis je me mis à respirer fort , c'était presqu'un gémissement . J'entrouvris les yeux pour apercevoir Phélis , puis toute la douleur des blessures que je m'étais imposés revinrent d'un coup . Je lacha un long gémissement puis des larmes se mirent à couler le long de mes joues . Je n'en avais pas finis avec tout sa.. Je devrais faire un choix.. Je devrais vivre .

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Mes gestes à présent sont juste un automatisme, le linge humide, le bandage que je change, ses entailles que je désinfecte, vérifier si son coeur bat encore. Je fais tout ça alors que j'ai l'immense impression que tout ce que je fais ne servirais à rien. L'odeur métalique me fait tourner la tête et je fais un effort surhumain pour ne pas céder, pour ne pas véritablement paniquer. Je me sens horriblement vide, c'est effrayant, je ne me rend pas compte à quel point mes larmes peuvent couler. C'est dans les moments les plus critiques que l'on se trouve le plus détaché, c'est une vérité assez comique de l'être humain, lorsqu'il devrait avoir ses esprits, il se laisse plonger dans une folie profonde. J'essayais de ne pas atteindre cette folie. Il en est hors de question, juste hors de question. Alors je continuais à faire ce que je pensais le mieux et je retrouva un minimum mes esprits quand je vis les yeux de Wyatt s'entrouvrir. Je ne fis pas attention à ses plaintes, même si c'était dure à entendre. Te voilà de retour face à la vie...je sais ce que tu ressens, tu dois être dégoûté n'est-ce pas? Tu ne vas finalement pas goûter à la douceur de l'éternité...par ma faute. C'est étrange comme l'être humain réagit de manière stupide, dans les moments les plus critiques, c'est les seuls moment où leurs véritables conneries fait surface. Je me sens coupable, parce que je l'aie sauver de sa mort, auquel il devait probablement tenir et je suppose que je serais senti coupable de ne pas l'avoir sauver, si je l'avais laisser mourir. Mais je ne réagissais pas, je devais être fort, je devais faire face à tout ça même si j'ignorais ce qui se passait. Au fond de moi, une voix, une voix me lançais d'une voix douloureuse que le cauchemars ne faisait que commencer et que malheureusement, j'aurais beau laisser les larmes coulaient, je ne me réveillerais jamais. Au bout d'un moment j'arrêta de m'agiter et cessa de bouger dans tout les sens. Je le regardais, j'effleurais sa joue froide et pâle de mes doigts, murmurant d'une voix briser par la douleur, la fatigue et le doute.

"J'aimerais comprendre, j'aimerais savoir quel erreur j'ai pus faire, ce qu'il a pus arriver pour que tu en sois là. Si c'est moi je partirais, si c'est à cause de moi, qu'importe la manière dont je suis impliqué dans cette histoire. Je serais prêt à disparaître pour que tu ne reffasses jamais cette erreur."

J'avais dis ses mots dans un murmure alors que je ferma les yeux pour les rouvrir. Je regardais tout autours. Du sang, des compresses, du sang, des larmes, de gémissement, des souffles, que ce soit pour lui ou pour moi, saccadé et un trou béant un peu plus à gauche dans ma poitrine.

"Pourquoi...putain...Wyatt...Tu avais pas le droit de faire ça...comme si je n'aie pas vu assez de gens mourir sous mes yeux....Comme si j'aurais pus vivre sans remord et sans larme si tu avais lâcher prise sous mes doigts."

Cette douleur était tellement intense , mais en même temps je me disais que c'était mérité . Comment j'avais pu lui faire sa ? Je savais qu'au fond il avait besoin de moi , et moi je ne voulais pas choisir . Même si je savais que sans lui , j'aurais surement finis la de toute manière . Je releva le regard , bien que c'était dur de garder celui ci ouvert , sur Phélis en sentant sa main contre ma joue . Mon visage était tordu par tellement de sentiments . J'étais soulagé dans un sens puisque je m'inquiètais pour lui en fesant sa , mais j'étais décu et surtout terrorisé à l'idée de ce qui allait venir.. Je bouga mon bras pour aller mettre ma main contre la sienne pour qu'il la laisse sur sa joue . Mais mon bras retomba aussitôt , tandis que je gémis de nouveau . Mes lèvres tremblaient et mes sanglots étaient de plus en plus forts . Je voulais parler , dire quelque chose . Lui expliquer .. Mais j'avais peur voilà tout . Je lacha un gémissement lorsqu'il parla de disparaitre , puisque visiblement , j'étais encore trop faible pour parler . Je secoua la tête un peu puis ferma les yeux serrant les dents et les poings..

>> J'ai besoin.. besoin de toi.. Dé..so..solé.. Je.. j'aur..rais pas du..

J'éclata de nouveau en sanglots puis je me laissa glisser contre le sol froid qui était maintenant recouvert de sang , mon sang..

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Je ne savais pas ce que je devais dire, j'avais peur de savoir la véritable face de l'histoire, j'avais peur de ce que j'allais ressentir en découvrant la vérité. Cette voix qui m'a souffler que de toute manière en tombant amoureux, je n'aie pas apporter que le bonheur mais aussi la souffrance. C'est donc à ça que se résume une vie? Souffrir, aimer, se séparer, aimer de nouveau, souffrir pour finalement mourir de désespoir? C'est donc ça cette amour après lequel tout le monde court pour le ressentir au moins une fois dans sa vie? Mais pourquoi se détruitre autant pour une chose qui finalement apporte beaucoup trop de négative? Peux être parce que finalement, même si le bonheur ne dure pas longtemps, il est tellement puissant qu'on est prêt à tout pour le retrouver. Je baisse ma main arrêtant de caresser sa joue. je fus surpris quand le vis tenter un geste, je ne sais pas ce qu'il voulait faire, mais je passa ma main dans ses cheveux, effleurant de temps en temps sa joue de mes doigts. Je veux pas qu'il sombre de nouveau, il faut que je le mienne en vie. Vous savez, ce contacte qui vous dérange tellement que vous n'arrivez pas à dormir? et bien là c'est pareil, sauf que je n'est pas un sommeil dont on se réveille.
Mes lèvres coulents toujours le long de mes joues, mais je suis horriblement silencieux. Trop peux être pour une personne comme moi qui passe son temps à s'agiter. En même temps, je ressors à peine de l'hôpital normal. Je sentis le trou béant s'agrandir dans ma poitrine quand j'entendis ses quelques mots. Pendant combien de temps encore? Je ne veux que sa, rester au prêt de lui, mais j'ai tellement mal, sa me fait tellement souffrir. Pourquoi a t-il voulue s'éloigner de moi comme les autres. Suis-je vraiment si mauvais que ça?!
Je ferme les yeux quelques secondes, serrant les points. Il faut que je garde mon calme, que je gère la situation.
Je les ouvrent de nouveau et fixe Wyatt d'un regard vide, trop, beaucoup trop.

"Wyatt, pourquoi as-tu fais ça?"

Je voulais savoir, tout savoir, la vérité, cette vérité qui à fait qu'on se retrouve là, tout les deux. Chacun au bord du vide.

Je luttais contre cette fatigue qui me prennait . Parce que je savais qu'au fond c'était la mort qui voulait m'entrainer . Mais si sa arrivait ce serait que de ma faute . Je n'aurais pas ce dur choix a faire certe , mais la du coup . Maintenant qu'il était la , près de moi , le choix semblait tellement facile . Au fond , j'avais surtout eu peur de le perdre . J'avais eu peur qu'il ne me pardonne pas pour ce que j'avais fais . Je ferma les yeux , me laissant partir doucement , puis j'entendis sa voix ce qui me rammena à la réalitée . Je devais tenir , pour lui , pour nous.. Je ne pouvais pas lui faire sa , non pas tout de suite .

>> Eva.. Mon ex.. Elle a besoin de moi mais moi j'ai besoin de toi , je n'arrivais pas à choisir.. Je ne voulais pas vous faire de mal..

Je ferma les yeux , me disant que c'était finit . Qu'il ne voudrait plus de moi , qu'il partirait . Et que la , je pourrais me laisser mourir . Parce que sans lui , je ne vallais plus rien . Je ne voulais pas continuer sans lui.. Ma respiration recommenca à s'accélerer , mon asthme allait pas s'en mêler maintenant.. Je n'avais pas besoin de sa . Je me mis à tousser et mon premier réflexe fut d'apporter ma main à ma gorge . Mais je gémis en bougeant le bras , puis porta mon autre à ma gorge tandis que je tentais de calmer la crise qui se préparait .

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Il y une chose plus triste à perdre que la vie, c'est la raison de vivre, plus triste que de perdre ses biens, c'est de perdre son espérance. Lorsque j'entendis ses mots, lorsque j'entendis sa voix, je me demandais, si je n'étais pas déjà en train d'y plonger dans ce gouffre sans fin. Lorsque j'avais entendue parler d'une autre personne, d'une fille, je m'étais crispé brutalement, ma main qui s'était mit à caresser sa chevelure sombre dans un geste tendre et habituelle cessa de bouger, glissant lentement pour pendre le long de mon corps. Je crois que j'aurais pus m'effondrer, je crois que j'aurais pus crier jusqu'à que ma peine transperçe mon corps, je crois que j'aurais pus me laisser sombrer, mais ce que je n'aurais jamais crus se fit, je souriais, mon dieu d'un sourire sans joie et sans vie qui faisait bien plus mal que des mots, parce que sur mon visage, il ne signifiait rien, absolument rien. Une larme glissa et se perdis sur ce sourire figé par la souffrance. Je fixais un point en face de moi. Cette voix que j'ai dans l'esprit depuis bien longtemps me souffle à l'oreille de nouveau "et si ce n'était qu'un jeu? et si tu ne représentais plus rien à ses yeux?". Alors que d'habitude, j'aurais trouvé quelques choses à dire, je resta silencieux, mon esprit, silence radio. Je crois qu'au fond, je pense comme cette voix. Et si je ne suis plus rien à ses yeux? Après tout, une journée face à des mois? Qu'est-ce que sa représente? Absolument rien. De nouveau, j'aurais été encore abbusé? Maintenant je regrette et j'ai peur, véritablement peur. Que va t-il se passer? Combien de temps va t-il mettre avant de m'annonçais que malgré tout, il l'aime du fond de son coeur, cette Eva? J'ai mal, mon dieu, rien ne fait plus souffrir que d'aimer, rien. On souffre encore plus lorsqu'on aime au point de tout abandonner. Avenir, joie, bonheur, tendre baiser, j'abandonne tout pour son bonheur. Si il décide de rester avec moi, je serais heureux, si il part je serais heureux également...parce que je souffrirais pour son bonheur. Avoir mal par amour, abandonner le bonheur pour celui qu'on aime. C'est une bonne façon de mourir finalement. Je me laisse glisser sur le sol en sang, attendant que mes esprits reviennent, que mes pensées ne soient plus aussi silencieuse. J'attendais peux être un brin d'espoir, qui me pousserait à me battre pour le garder au prêt de moi...

" Tu vois là, j'ai l'impression que le monde pourait s'écrouler sous mes pieds et que ce n'est pas toi, mais moi qui est en train d'agoniser. Je devrais me battre je suppose, trouver les mots les plus doux pour te prouver à quel point je tiens à toi. Mais je ne trouve rien de mieux que de pleurer en souriant...pleurer, je n'aie pleurer pour personne si ce n'est pour moi-même, et me voilà que je tombe pour une histoire de coeur que tu as salis. Mon dieu, on est bien beau. Je devrais te dire à quel point tu me dégoûtes là, que je souffre horriblement, mais tout ce que je sais, c'est que je t'aime et que je t'aimerais, qu'importe le choix que tu feras. Tant que tu es heureux, loin ou prêt de moi, je pense que sa me suffira. Un sourire contre une éternité de sollitude. C'est tout ce que je veux..."

Je me relève lentement et je le regarde, tristement. Comment avons-nous pus en arriver là? comment a t-il put me rendre dans cette état? Et pourquoi je n'arrive pas à agir normalement? A le hair parce qu'il s'est joué de moi. Putain, l'amour, sa rend bien et bel et aveugle. C'est pour ça que je déposa mes lèvres sur les siennes que je caressa sa joue, comme si c'était vitale.

"Putain, sa devrait être interdit d'aimer quelqu'un au point
d'accepter d'en souffrir."

Je ferma les yeux laissant les larmes couler le long des joues . J'avais tellement peur , j'étais d'un ridiculisme fou . J'avais provoqué tout sa , et maintenant j'étais prêt à le supplier de me pardonner . De me pardonner mon erreur . Lorsque je vis sa réaction , j'eus l'impression que mon coeur allait se déchirer en mille miettes . Qu'il ne serait plus que poussière . Comment j'avais pu lui faire sa à lui ? Cet être extraordinaire pour qui je ferais n'importe quoi . Celui que j'aimais plus que tout.. J'étais un monstre , je ne méritais plus de vivre . Je ne méritais rien dutout , ne serait ce qu'un avenir dans la souffrance . Une mort longue et agonisante . Je l'écoutais parler , tremblant tellement je pleurais . Puis lorsqu'il se releva pour poser ses lèvres contre les miennes je pris son visage entre mes deux mains tremblantes puis le regarda dans les yeux .

>> Phélis.. Je suis tellement désolé.. Je t'aime . Je t'aime toi et personne d'autre.. Je m'en veux et m'en voudrai toute ma vie de t'avoir fait endurer sa.. Je.. J'ai paniqué..Tu es essentiel à ma vie depuis notre première rencontre.. Tu es ma vie..

Je relacha son visage parce que mon bras me fesait trop souffrir . Puis je rabaissa le regard et ce fut à ce moment que je réalisa ce que j'avais fais.. S'il n'avait pas été la , je ne serais plus là.. Je l'aurais abandonner.. Ce n'était pas moi , j'avais complétement perdu la tête ou quoi ?

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j'ai l'impression de marcher dans un long tunnel noir dont je ne verais jamais la fin, mes yeux fixent le plafond, blanc et pâle, et mes yeux, mes larmes, continuent leurs descentes dans un silence presque mortel. Je ne veux plus parler, de peur de déverser de nouveau une rafalle de mot, de sentiment qui n'auraient jamais due sortir de mes lèvres. J'ai peur, vraiment peur de ce que sera l'avenir, peur que son coeur s'arrête de battre...pour moi. Peur que ce ne soit plus moi qui soit proie à l'oublie mais lui. Dit-moi pourquoi, des cendres et des poussières trainent autours de toi, du sang sur le sol, te souviens-tu de moi, de ce que l'on a put faire. Te suis-je innutile?
Après tout ça, après quoi courir? maintenant que je ne sais plus ce que sera l'avenir. Dit moi pourquoi le monde doit être aussi sombre et pourquoi l'existence humaine me parait si fâde, aussi dégueulasse, pourquoi? Je suppose parce que c'est de toi dont il est question et parce que j'ai beau t'aimer je ne peux m'empêcher de me sentir mal. Ce n'est pas comme si on parlait d'un simple jeu, ce n'est pas une simple erreur, c'est tellement plus grave pour moi, tellement plus gros que ça. Je me relève légèrement, je n'aime pas qu'il bouge comme ça. Oui parce que même si un jour il en vient à me détester, je continuerais à m'inquiêter pour lui, pour toi. Je ne comprend pas ce qui m'arrive, je ne suis pas ce genre de personne, je ne fais pas parti de ses gens qui pleure pour un autre. Je devrais me lever, garder la tête haute et dire que je ne passe pas derrière les autres. Mais non, parce qu'encore une fois c'est de toi dont on parle et que toi, pour toi, rien n'est pareil et le monde change complètement. Parce que oui pour toi je pleure, je souffre et j'abandonne cette foutue fierté...
Je me relève légèrement, m'accroupissant à côté de toi pour me pencher au dessus de ton visage. Rien ne séchera cette pluie qui dévale sur mes joues, je pleure toujours, de joie ou de douleur? je n'en sais rien. Tout ce que je sais, c'est que je sais ce que j'ai à savoir. J'entrelace délicatement tes doigts avec les miens, faisant attention à ne pas te faire de mal. Je veux profiter de ce moment, cette douceur qui nait au fond de mes yeux sous l'apocalypse autours de toi et moi, comme une image iréaliste par rapport à ce qui se passe vraiment. Je dépose des baisers débordant de sentiments sur chaque partie de ton visage, montrant à quel point j'avais us peur de te perdre. Tes mots, m'on dieu Wyatt, tu ne sais pas, tu n'imagines même pas ce qui peut se passer au fond de moi. Sa me dépasse, sa te dépassera. Mes doutes, ma douleur, ma souffrance, la chaleur de mes sanglots et tout le reste, le monde qui tourne en rond, dans quel sens, je m'en fou. Il n'y a plus que toi et cette vie que j'ai crus perdre.

"Dans ce cas, je t'interdis d'essayer de me tuer de nouveau...si tu dois partir de ce monde, ne me laisse pas seul et emmène moi avec toi, car sans ma vie, je ne suis rien. Putain je t'aime Wyatt, je t'aime, je t'aime tellement...je m'en fiche de ce que tu as fais...je m'en fiche complétement, je t'aime trop pour faire l'erreur de partir."

C'était presque suréaliste tout sa , je ne pouvais pas croire que j'en suis venu à penser que la seule solution était de crever . En 1 ans , tout dans ma vie s'est déroulé tellement vite . Moi qui était timide et qui ne connaissait personne dans cette ville depuis que j'étais tout petit . Le mec qui a peur de son ombre , qui reste dans son coin et ne parle à personne . Qui se contente de sa solitude et de sa musique . Le gamin qui est heureux avec un rien , mais qui ne le montre pas . Celui qui ne connait rien de la vie , de l'amour . Est devenu un homme , perdu et dépendant d'une autre personne . Dépendant de tout ce que cette personne peut lui apporter . Je ne vis plus comme avant , je suis devenu.. normal . Je ne suis plus différent des autres , j'ai découvert l'amour . J'ai découvert le monde froid et dur des adultes . La réalitée..
Et l'amour , cet amour que je ressens malgré toute cette douleur , est plus fort que tout . Je ne peux même pas croire que ca peut excister , un sentiment aussi fort et dévastateur . Et je n'ai jamais ressentis sa . Avant lui.. Celui qui est là a serrer mes doigts malgré ce que j'ai pu faire . Celui qui a sut me garder en vie.. Celui qui m'a redonné une raison de me battre.. Le seul pour qui je crèverais , pour qui je ferais n'importe quoi . Je peux sentir ses lèvres sur mon visage , je ferme les yeux . Et me concentre sur lui , sur sa voix . Lorsqu'il eut finit de parler , je caressa doucement sa joue pour essuyer les larmes qui coulaient le long de ses joues le regardant dans les yeux .

>> Chut.. C'est finit maintenant Phélis.. Je suis là.. Je ne te laisserai jamais..

Je me redresse un peu pour embrasser ses lèvres , puis me laisse aussitôt retomber contre le meuble . Regardant le sol puis mon bras . J'allais devoir nettoyer tout sa . Lorsque j'aurais plus de force , parce que maintenant vu le sang que j'avais perdu , je devais me reposer . Je ferma les yeux lachant un long soupire puis grimaca . Les cachets que j'avais pris fesaient effet au moin , il m'empechait carrément de ressentir la douleure que j'avais au bras maintenant . Et je commençais a vraiment avoir de la difficultée à rester éveillé .

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En y réfléchissant, comment aie-je fais pour en arriver là? Je ne sais pas vraiment, ce que je sais par contre, c'est que ma vie à était plus noir que rose, ou alors blanche, simplement neutre. J'ai souffert, j'ai fais souffrir, j'ai crus mourir, j'ai crus abandonner des milliers de fois, mais je n'aie jamais us aussi peur qu'aujourd'hui. Si je dois me décrire je dirais que je suis un mec qui court après le bonheur, quelqu'un qui sourit pour se donner des airs et qui ne pleure vraiment jamais, par fierté, pas parce qu'il n'y réussit pas. Je n'aime pas que l'on "joue" avec moi, mais parce que le bonheur est plus important que le reste, je laisse les gens jouer avec moi, comme si je n'étais rien. Si je réfléchis bien, j'en aie supporter des choses. Sa doit être pour ça finalement que j'ai autant de mal à m'arrêter de pleurer. L'élans de souffrir qui m'avait envahis tout à l'heure me semble si loin à présent. Pas que la douleur de mon coeur se soit calmer, mais je me sentais un peu mieux maintenant que mes questions avaient des réponses. Je ferma les yeux quelques instant, laissant ses doigts essuyer mes larmes. Je sentis ses lèvres contre les miennes et laissa un très faible sourire s'accrocher sur mon visage. Faible certe, mais vrai. Sauf qu'au bout d'un moment je tomba presque brutalement sur le sol. Faut dire que je ne suis pas non plus dans le meilleur état qu'il soit. Normalement, je ne devrais même pas être là, mais à l'hôpital...que le destin fait bien les choses des fois. Tient en parlant d'hôpital, je crois que j'ai paumé l'embulance. C'est vraiment grave? je tourne les yeux vers Wyatt...non,ce n'est pas grave plus maintenant. Puis je refuse catégoriquement d'y aller, de le laisser aller. Sa ne sert à rien. Je le soignerais seul, parce que je sais comment faire. Mes yeux roulent dans la pièce et je soupire...c'est terrifiant tout ce qui est arrivé dans ma vie en si peu de temps, vraiment terrifiant.

"c'est fini...si seulement on pouvait être heureux sans ne jamais souffrir...si seulement..."

Je ferma les yeux. Ho oui, rien n'est fini, au contraire, tout ne fait que commencer. Je le sais, finalement avec le temps j'ai retenue la leçon. l'amour est cruelle et elle fait presque aussi mal que le reste. Aimer c'est souffrir, alors pour ne pas avoir mal, il ne faut pas aimer.
Je préfère souffrir...pour l'aimer, lui et personne d'autre.

"Tu dois te reposer Wyatt et la salle de bain ce n'est pas le meilleur endroit...viens"

Je me lève doucement pour ne pas retomber sur mes fesses et attrappe son bras qui n'est pas meurtris pour le reveler avant de passer ma main autours de sa taille. Je refuse de passer quelques secondes de plus ici...c'est trop...Morbide.

Au fond , cette série d'épreuve n'est que le début . Mais , si je tentes de ma battre , je serai peut être récompensé après tout . Je ne me battrais pas pour le récompense même s'il y en avait une , je me battrais pour lui . Parce que j'ai besoin de m'assurer qu'il est heureux . Je lui ai fais du mal , et je tiens à réparer ça . Au fond , même si sa maladie est un inconvénient normalement , j'espère qu'il oubliera ce moment.. Moi aussi je l'oublierais si je le pouvais . Je ne veux pas qu'il se rappelle de moi dans cet état . J'entendis ses paroles puis me mordilla la lèvre . Je savais que c'était vrai.. On ne pouvait pas être heureux sans jamais souffrir . C'était impossible . Le bonheur parfait devait excister , mais les gens qui y accèdent doivent passer par dessus bien des épreuves avant cela .

>> Je te promets que je te rendrai heureux.. C'est tout ce qui compte pour moi..

Je le regarde se lever , puis fait pareil . Me tennant à lui , mais je pris soin de prendre une serviette sur l'armoire et de la mouiller avant en attrpant un truc pour me faire un bandage . J'alla me nettoyer le bras comme il le faut une fois dans ma chambre . Heureusement il n'y avait du sang que sur mes bras et mes vêtements . Je me dirigea donc vers la chambre avec l'aide de Phélis . Je le lacha pour retirer mes vêtements grimacant par moment puisque mon bras me fesait souffrir . Puis lorsque je me retrouva en boxer j'alla m'asseoir sur mon lit nettoyant toute trace de sang sur moi avec la serviette et d'enlever les compresses de sur mon bras . Je posa mon regard sur Phélis puis lui adressa un tout petit sourire . Avant de rabaisser le regard sur mon bras . J'y arriverais pas seul , surtout que je devais me servir d'une seule main puisque c'était mon bras que je devais soigner .

Invité

Je soupire doucement, longuement, j'aimerais tellement que finalement cette histoire ne soit rien d'autre qu'un très mauvais rêve et que rien de tout ça serait arriver. C'est vrai que j'ai pus réaliser à quel point Wyatt tenait à moi, mais contre quoi finalement? Il a fallit perdre la vie. Maintenant, je me rend compte, heureusement que mon instinct à était bon sur ce coup-ci, si j'avais laisser place au gamin capricieux, j'aurais fais demi-tour lorsque je m'étais trouvé devant sa porte et il serait probablement...mort. J'enserre sa taille un peu plus sous cette pensée et le lâche lorsqu'il arrive dans la chambre. Je me met alors à fixer un point invisible sur le sol, le regard quelque peu vide. j'ai beau l'aimer de tout mon coeur, l'aimer à en creuver, je continue à me sentir mal, à me sentir vide. Je me pose tellement des questions, j'ai tellement de chose que j'aimerais demander. Qu'à t-il fait avec son Ex? est-ce qu'ils ont couché ensemble? est-ce qu'il ressent encore des choses pour elle? Et si ils se revoient, comment cela va se passer? Je soupire longuement, je crois que je me fais beaucoup de mal à penser à ça. Mais j'ai tellement peur, tellement peur qu'il s'en aille vers elle. Parce que la voix au fond de mon esprit me souffle que Wyatt n'est pas le genre de personne qui tromperait sans sentiment, et comme je suis stupide, j'y crois fort, tellement fort que sa en est malsain. Il doit sûrement l'aimer un peu...je suppose. Je lève les yeux vers lui, il ne lui reste plus que son boxer, je le fixe quelques instant, l'esprit totalement absent et souris d'un air triste lorsque je remarque qu'il ne peut pas se soigner tout seul. je m'approche alors de lui.

" Laisse moi faire"

Je ne savais pas quoi dire de plus, en faite si je me laissais parler encore un peu, je poserais ses questions qui me brûlent la langue, cette question qui m'empêche d'être réellement heureux. Comme je ne suis plus prit sous la panique, mes gestes sont moins brutaux et beaucoup plus précis, comme si je l'avais déjà fait. Chose vrai, je l'aie déjà fais, ce n'est pas le premier qui tente de se tuer sous mes yeux. Je reste calme, c'est même effrayant venant de moins, je ne souris pas beaucoup, en faite je souris à peine, comme si on me forçait un peu...J'ai beau l'aimer, il m'a blesser et personne ne pourra jamais me faire autant de mal, que lui m'en a fait.
Je me pince la lèvre et lâche finalement, en baisser le plus la tête possible. Terminant son bandage.

" Ton Ex...tu l'aimes encore un peu?"

Je continus de le fixer , me pincant les lèvres . Puis je le laisses me soigner . Il est tellement beau , doux et je l'aime tant.. J'arrive pas à croire que j'ai pu vouloir partir loin de lui . Lorsque je l'entends me poser cette questions , j'hausse un sourcil . Je ne l'aimais pas , non pas Eva , et j'espèrais qu'il ne me pose pas cette question.. Je ne voulais pas qu'il doutte . Je lacha un long soupire puis releva son visage secouant la tête négativement . Puis je déposa mes lèvres contre les siennes . Puis je colla mon front contre le sien le fixant dans les yeux quelque instants .

>> Non.. Je suis juste un peu protecteur envers elle , c'est tout .

Je lacha un soupire puis m'appuya contre le lit lorsque je me sentis légerement étourdi . Ça devait être les médicaments et le sang que j'avais perdu qui provoquait sa . Je ferma les yeux , inspirant profondément avant de reposer mon regard sur lui . Je luttais contre la fatigue , parce que je ne voulais pas m'endormir avant d'être sur qu'il ne douttait pas .

Invité

Est-ce j'ai le droit de douter de nouveau après ça? je n'en sais rien, mais j'ai envie de me dire, que si nous sommes ensemble, je n'aie pas à avoir peur. Sauf qu'au plus profond de mon être, j'ai cette part de doute qui continue de vivre au fond de mon coeur, empêchant mon sourire de revenir. Mais si je me sens si bien dans ses bras, sa veut dire que je n'aie rien à craindre n'est-ce pas? Si il existe dans ce monde un endroit où l'on peut se comprendre et être heureux, c'est quand nous sommes tout deux enlacés. Ses lèvres, ce goût si précieux et ses frissons.
C'est bien un preuve qu'il m'aime n'est-ce pas? Je n'aie plus de raison de douter, je n'aie plus rien à dire, plus rien à demander. Je le regardais un moment, ses traits doux, son regard, sa façon d'être avec moi. Si il ne m'aimait pas totalement, jamais il n'aurait été comme ça avec moi. Impossible.
Finalement je me décida à sourire. J'enleva mon sweet dans lequel j'étouffais pour me retrouvait en t-shirt. Quel journée, à croire qu'elle à était faite pour me faire souffrir.
Cependant dans un élans de débilité, je me mis à fixer le lit avec envie, j'ai tellement envie de dormir que je suis sûr que je rassemblais mon énergie pour sauter jusqu'au lit.
Finalement d'un pas lent je vais malonger sur celui-ci, sur le dos, fixant le plafond doucement avant de murmurer simplement.

"Je te fais confiance, tant que tu ne m'aimes pas moins, c'est tout ce qui compte pour moi."

Appendre à faire confiance, à lui faire confiance. C'est sûrement ce qui fera que je serais plus heureux.

Je le regarde s'allonger et c'est à ce moment que je vois à quel point il est pâle . Et surtout à quel point il semble fatigué . Je finis par aller m'allonger contre lui la tête contre son torsee et je glisse ma main jusqu'à la sienne pour entrelacer doucement ses doigts au miens . Je relève un peu la tête pour aller l'embrasser sur la joue et je remonte mes lèvres jusqu'à son oreille .

>> Je t'aime , repose toi maintenant..

Je reposa doucement ma tête contre son torse puis ferme les yeux . Bien que je tente toujours de lutter contre le sommeil . Je veux m'assurer qu'il dort avant tout . Je suis un peu trop protecteur il faut croire . Je n'imagine pas ce que je ferais si quelqu'un osait s'en prendre à lui.. En fait ca n'arriverait pas puisque je ne laisserais jamais personne s'en prendre à lui . C'était hors de question . J'étais dans sa vie ,et pour de bon . Il serait heureux et personne ne se servirait plus jamais de lui . Je caresse doucement ses doigts , humant son parfum en enfouissant mon visage dans son torse doucement.

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Le contacte de mon dos contre le matelas m'a soudain parrut être la meilleur chose au monde et le plus beau confort qu'on pouvait chercher. Je suppose que c'est à cause des émotions et des événements récents que j'en suis arrivé à avoir une réflexion aussi limite. Je souriais, d'un rictus plein de douceur et d'amour, de tout ce que je possédé de positif et tout sa pour lui, pour Wyatt. Tient je me dis que j'aurais pus lui faire la gueule et en profiter pour réclamer un nombre infini de baiser jusqu'à que je lui pardonne, ou plutôt, jusqu'à que je lui avoue que je lui aie pardonner dès le moment où les mots "je t'aime" sont sorti de ses lèvres. Je m'amusais à tripotter ses cheveux, trouvant le sommeil ainsi petit à petit.
Je me suis jamais senti aussi bien en la présence de quelqu'un...enfin si, je me sentais bien en la présence d'Angel, mais là, c'est pas la même histoire, Wyatt, je l'aime à en creuver. Je serais prêt à tout pour lui. Je supose que si on m'avait demander d'échanger ma vie pour la sienne, j'aurais accepter. Parce que je n'avais rien à perdre ici, mise à part lui.
Je sais que c'est mal d'être dépendant, de croire aussi fort en ce genre d'amour, que c'est un truc un peu malsain. Mais j'y peux rien. Je ferma les yeux doucement, enfermant sous mes paupières mes pupilles bleu et me laissa bercer pas l'engourdissement, signe que j'allais bientôt m'endormir et grâce à celui que je tiens contre moi, sans douleur, sans image sanglante et sans cauchemars comme je le le fais d'habitude.

"Wyatt je t'aime et je te veux dans ma vie, pour une durée infini. Parce que tu es tout pour moi..."

C'est sur ses mots, sorti dans un souffle et un murmure paisible que je cessa de lutter contre la fatigue. De toute manière, contre lui, qu'est-ce qu'il pourait m'arriver de mal?
Rien, parce que j'ai envie de croire qu'il est capable de me protéger contre ce monde qui me fait autant de mal.

J'étais bien contre lui , mais évidement je ressentais de la douleur au niveau de mon bras . Je ne devais aps y faire attention , ca partirait vite.. Du moin je l'espère.. Et surtout , j'espère que je ne garderai pas de séquelles de cet évenement.. Je veux oublier , et surtout oublier ce qui m'a poussé a faire sa . J'ai été ridicule et plus jamais je ne recommencerai ça . Pas tant que Phélis était la , je l'aimais tellement , en fait je ne peux même pas croire qu'on peut aimer comme sa . Lorsque je sentis sa main dans mes cheveux , un petit sourire étira mes lèvres . Puis je ferma doucement les yeux soupirant . Je glissa ma main dans la sienne à ses paroles serrant doucement ses doigts .

>> Tu es tout pour moi maintenant..

J'attendis qu'il s'endorme avant de me laisser à mon tour somnoler doucement . Au moin , je dormirais bien cette nuit , à cause des médicaments que j'avais pris.. Espèrons que ca ne m'empêchera pas de me réveiller.. Mais non c'était impossible , sinon je serais déjà partis ..

Invité

Je plongea dans un sommeil profond sous un sourire amoureux.
La nuit à était paisible et sans rêve, calme. Je ne m'étais pas lever brusquement, je n'avais pas us de spasme, pas de tremblement, il n'y avait pas de cris attroce, pas de souvenir douloureux. En faite c'était comme si mon esprit fut vide. En même temps je suppose que c'est un peu le cas. Je ne pensais plus à rien lorsque je m'endormis, si ce n'est une image, un visage, celui de Wyatt et puis des mots, des je t'aime, parssemaient dans le temps. Mais, même si je n'avais pas fais de mauvais rêve, sa ne m'empêcher pas d'ouvrir les yeux et de les refermer quand je constatais qu'il n'était toujours pas l'heure de se lever.
J'aurais voulue dormir d'une traite, sans avoir ses réveilles à répétition, mais bon, je ne peux que m'on vouloir à moi-même, je n'aie pas pris mes médicaments avec moi.
Au bout d'un moment, je sorti de nouveau de mes songes, sauf qu'en entendant vaguement le bruit lointain de la vie dehors, je m'étais dis que la nuit était passer. Alors je gardais les yeux fermer, jouant l'endormis, comme je fais d'habitude d'ailleurs...Non en faite, pas totalement, parce que d'habitude, j'ouvre les yeux, la fenêtre est grande ouverte et je suis aveuglé par les rayons du soleil. Bien sûr comme si c'est pas sufisant, j'ai pour habitude de plonger dans mon lit et cacher mon visage sous l'oreiller...
Comme je ne voulais pas bouger, de peur de réveiller Wyatt, je restais immobile.
Est-ce que je peux avoir un peu l'espoir d'avoir oublier ce qu'il c'est passé hier?...bah non, puisque si je pose cette question, c'est que c'est évident.
Je me rappelle du cauchemars que j'ai vécu hier. Pas en totalité. Je ne sais pas, ou plus, au choix, pour quel raison il a tenter de faire ça...Mais est-ce que c'est important?
J'espère que non...
Je me demande bien qu'elle heure il peut bien être tient. Proche du 5h ou plutô 9h/10h?
Je dirais plus 10h, parce que c'est pas demain la vieille que je serais totalement réveiller à 5h hein.
Je soupirais intérieurement, m'interrogeant sur des trucs vraiment stupide et sans intêret. En même temps moi et le matin hein. C'est toujours spécial le réveille, je suis d'humeur très enfantine quand je sors de mes songes.
Pourquoi je vous dis ce genre de truc sans importance?
Ho mais c'est juste parce que j'ai horriblement envie d'un bisou là, ou deux plusieurs....Sa dépend si je suis gourmand...

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