Un besoin de faire la fete [Pv Aaron]

Il est 23h00. Et moi, je danse, au milieu de la foule de gens. Sur la scène, autour de ma barre de fer. Habiller d'un slim noir, et d'un tee-shirt bleu avec l'un des muppets dessus. Ma coupe rebelle emo, comme d'habitude et un sourire avec des percings au labret a en faire tomber d'évanouissement, plus d'une, ou plus d'un. Remuant des hanches sensuellement, les ondulant felinement, tout en m'agenouillant parfois. Ayant un regard sensuellement coquin mais sans plus. J'aime le fait d'avoir le monde a mes pieds et qui sifflent en m'admirant. Bien qu'ils y a des groupies qui viennent me coller, ou même des mecs pour partager la danse avec moi. Je sourit en coin, avant d'enlacer une fille par la nuque et me faire prendre en coller serrer avec un mec, et hop, en sandwiche. Ça, c'est le pieds, de prendre son pieds, dans une boite. Je suis au paradis, et c'est moi qui le dirige ? xD.

ChapterOne « Le désir au bout des doigts. Tu sens, le frisson qui te caresse »

Pourquoi tenter de m’apprivoiser ?
En moi sommeille le cœur d’un chien enragé
Pour toujours je serai
Lost boy

" Sur moi j’ai retrouvé. Les traces de la nuit passée. Des marques de morsure
Mon dos recouvert de griffures. Je sais qu’une fois la nuit tombée
Ma raison sera enterrée. Je cherchais l’aventure.En espérant d’autres blessures"

Il écrase sous son pied la clope encore fumante, Une main à moitié enfoncé dans l'une des poches arrière de son jean et l'autre, passé dans ses cheveux. Ses yeux se baladent sur les façades, cherchant sa prochaine destination, il veut du jeu le Bright. Il veut s'amuser, se laisser aller, et se perdre dans l'ivresse, si divin, si délicieux. Sa langue caresse ses lèvres tendit que ses yeux se pose sur le néon d'une boîte. Sa conviendra largement pour ce soir. Aaron Amuse toi, oui, oublie un instant qui tu es vraiment. Ses pieds claquent contre le bitûme et d'un pas plus accéléré il se dirige vers l'entrée. Il lui en aura fallut pour entrer. Et alors que juste avant, il n'entendait que la musique lointaine des sirènes accampagné au sifflement du vent, il se retrouve brutalement agressé par la musique.
Il se trace un chemin parmis la foule, repérant déjà ses prochaines proies, il les veut, il les aura, parce qu'il est tout simplement le meilleur à ses yeux. Mais des filles le collent, il se laisse faire presque docilement, les excites sans conviction, mais elles y croivent, complétement. Au bout de plusieurs minutes il se décolle. Evidement, Aaron ne peut pas supporter qu'on lui fiche une poitrine sous le nez. * c'est pas pour moi ça, c'est le cam à Faustin* Qu'il avait penser sur le coup. Enfin, il l'a trouvait l'une de ses proies, une jeune homme brun, probablement plus vieux que lui, élancé, bien tailler, sûrement bien monter. * hn c'est parfait *Se collant de dos à sa proie, il laisse ses mains se baladait sur son torse, surprenant le jeune homme, qui bientôt affiche un sourire presque, satisfait? . Aaron laissa son souffle chaud rechauffait sa nuque un moment tendit que ses doigts s'engouffraient vers des lieux plus intime, oui, plus bas encore. Ses lèvres remontent vers le creux de son cou et d'une voix terriblement suave il murmure

"Tu sais quoi? Je nous vois, toi et moi, n'importe où, le corps en sueur, collé l'un à l'autre, j'entend tes gémissements, je sens ta chaleur, j'imagine tes doigts se baladaient sur mon corps, le découvrir peu à peu, puis surtout, j'ai envie de te sentir en moi, tes coups de buttoir délectant. mhmm mon beau, joue avec moi"

Il rit d'un air taquin et s'éloigne peu à peu, ne quittant pas des yeux ce qu'il espère être son coup du soir. A reculant il s'engouffre dans la foule tendit que quelques regards curieux se pose sur lui, mais rapidement. L'action n'est assez intéressant pour s'y attarder. Sa langue caresse ses lèvres, les humidifie d'un air satisfait. Il aime ses hommes d'un soir. Ce faite de savoir que l'un comme l'autre ne recherche que du Sexe à l'état pure. Mais tout s'accélère. Il aurait presque crus que l'homme c'était jeter sur lui, Il se retient de basculer en arrière et s'accroche, quelques personnes tombent, et soudain l'action devient tout de suite intéressante. Il fait pas attention aux gens qui les insultent, il s'en fou, on vient s'emparer de ses lèvres et quel goût excit. L'homme le pousse jusqu'au comptoir du bar d'un geste brusque. Aaron se laisse faire. Parce que c'est bien connues, il aime quand c'est sauvage, quitte à s'attirer de très gros ennuis et se faire passer pour un Accro du voyeurisme. Il se retrouve à moitié allonger sur le comptoir, l'homme debout entre ses cuisses, coller contre lui, lâchant des gémissement non retenue. La discretion n'existe plus et l'attention des gens se tournent par ici. "Ils vont le faire là? ", "Ho mon dieu ils sont dégoûtant", "mais que quelqu'un les arrêtent", "ho sa donne des idées", "sa gâche la soirée". Aaron sourit d'un air discret, sans perdre son air mystérieux qui semble excité son vis à vis. Il se penche vers l'homme, empoigne son col et rapproche ses lèvres des siennes avant de lancer, d'un air faussement fièvreux.

"Baise-moi maintenant."

Je continuais de danser, dans mon coin, sans me soucier du regard des autres. Sans me soucier de mon frere. Celui qui continuer d'allumer les mecs comme si ca l'amusait. Quand je le vis, je levais un sourcil avant de rire, continuant de danser en coller-serrer avec a la fois une fille et un gars. Et vas-y que jje leurs roule des pelles a tours de roles maintenant. Puis, quand ce fut leurs des solo. Je soupirais, m'ecartant de tout ce beau mode qui ne pensent qu'a coucher avec mon corps... et pas le moi, que je suis. Personnelement, je ne suis pas contre, mais par principe. Je ne le ferais pas. Je me rends au bar, avant de demander une vodka et regarder mon frere du coin de l'oeil avant de sourire d'un air amuser.

- Tu changeras jamais, toi.

Lachait-je avant de rire subitement et de venir mon verre cul-sec.

- Au moins, tu prends ton pieds. C'est deja ca xD.

ChapterTwo « J'ai sali les amants de ma langue de serpent »

Observant mon propre reflet
Quand soudainement celui ci change
Violemment il change
Oh non, on ne peut plus revenir en arrière maintenant
Tu as réveillé le démon qui sommeillait en moi

" Je ne cherche pas la mort, Je recherche la destruction
Jusqu'à notre mort nous recherchons la destruction "

- Tu changeras jamais, toi.

Aaron tourna brutalement la tête, offrant ainsi sa nuque aux lèvres taquine de l'homme. Tient Faustin? Il ne l'avait absolument pas vu. Pour sûr, l'attraction c'était lui. C'est obligatoire pour l'emo. Quand on est un bright tout les regards sont posé sur nous, où que l'on aille. Il sourit doucement, dans un air particulièrement discret, mais au moins, celui-ci de sourire, il était vrai. C'est connues. Aaron ne sourit pratiquement jamais, les rares fois où il le fait, c'est tellement discret que les gens ne captent rien. Il s'apprétait à ouvrir les lèvres pour sortir de quoi taquiner son frère, mais à la place son attention fut brutallement retourner vers son vis à vis, qui s'éclater pas mal, un gémissement sorti d'entre ses lèvres et il laissa sa tête basculer en arrière, se mordant la lèvre inférieur. Divin, juste divin. Tournant la tête de nouveau vers Faustin, mais fois-ci beaucoup plus lentement, il l'observa un instant. Sérieux, je crois que Aaron ne comprendra jamais pourquoi il ne couche avec n'importe qui, n'importe quand. Lui et ses foutues principes mon dieu. Le bright s'en fiche pas mal qu'on ne veuille que son corps, c'est la même chose pour lui à chaque fois alors. Mais en même temps, il a du mal à savoir c'est qui le con dans l'histoire, lui qui ba*se et qui se fait ba*ser par n'importe qui, prenant des risques considérable, ou Faustin, qui veut absolument qu'on s'intéresse à lui? En faite, les deux sont con dans un sens... Il soupire de bien être et se détache de ses pensées, pas franchement intéressante pour le coup, surtout avec ce qu'il se passe autours de lui. Quel connerie, le mec à un gars bandant en face, et il se permet de penser à la pluie et le beau temps. Ouai mais il est comme ça ce gars.

"-Tu t'ennuierais pas mal Grand frère si je changeais."

Il détourna la tête pour poser ses yeux sur le plafond, beaucoup trop éclairé à son goût quand une voix, juste derrière lui, pas franchement désirable lui arriva aux oreilles. Techniquement, il s'en fiche pas mal de ce que peuvent dire les gens, mais quand on l'insulte dirrectement, y'a comme les poings qui le démange.
"Quel chien il fait, je suis sûr que c'est le genre de mec qui couche avec n'importe qui et n'importe quoi. Sans scrupule ni respect. Sa m'étonnerais même pas, si il vient me sortir qu'il ba*se à plein temps avec un membre de sa famille." Vous avez déjà vu un chien enragé? Sur le coup, Aaron était presque similaire à ça. Y'a des limites, qu'on le traite de chien, aller si ils veulent, mais ça, hoho non, un minimum de respect, le frère il est juste à côté en plus, sa fou légèrement la honte. Enfin, pour résumer la scène qui venait de se dérouler Aaron c'est relever brutalement lâchant un:

"Dégage bouffon"

Bien senti par son vis à vis qui à dégager, l'air rageur. Aussitôt libre, aussitôt les pieds sur terre, il est face à face avec l'homme, prêt à lui foutre son point de la gueule à la seconde. Mais il se retient. Aaron est un mec subtile qui doit pas se laisser avoir par ce genre de connerie. Il essaye de reprendre son calme, les yeux rivé par terre avant de relever la tête. Mais quelques secondes il se tourne vers son frère, le regardant un instant. Putain à bat la subtilité. Un coup bien placé et il aura vanger son nom. Chose pensée, chose faites, et houa quel sensation, c'est toujours marrant de frapper un mec dans les bijoux famille. Il se rapproche et lui crache presque au visage

"Aller t'aime les sensations que te fait ressentir le chien?! Sa fait mal? Demande à ta mère de te faire une gatterie pour faire passer la douleur. hn vas et bien, va et viens. Ouai je suis sûr que t'aimerais ça."

Il se relève doucement et en voyant la gueule que tire les employés de la boîte, se dit que peux être sortir d'ici serait pas si mal, et tout seul hein. Parce qu'il n'a pas envie de se faire embarquer par un des gorilles qui sert de videur. Ils ont pas l'air trop docile ses gars là. Il trace rapidement à travers la foule, repousse les minettes et les minets qui se colle à lui, parce qu'il so rebelle quoi et passe devant son frère,s 'arrêtant quelques secondes.

"Ho je vais craquer frangin, je te promet."

Et il sort, sans fanfare pour une fois, quoi que, sans faire expré il a fait tomber un mec par terre. Et évidement, comme c'est pas lui le mec plie, il a oublier de dire "pardon". Quand on dit que c'est un chien enragé de temps en temps.

Je soupire, sans rien dire, avant qu'on ne m'insulte au meme gradue que mon frere. Si il y a bien une chose qu'on touche pas chez les Bright. C'est la famille. Non seulement, mon petit frere s'en chargeait mais en plus, le mec qui semblait - il avoir mal au bas - ventre se rapprochait de moi, parce que soit disant, mon regard etait deplacer.

- Quoi, tu veux ma photo ?
- Nan, j'ai assez de ta mere, de ta soeur et ton pere, sur ma table de nuit, la tienne, franchement, y a mieux.

Le mec, ni une, ni deux seconde plus tard, et voila qu'il me vise avec son coup de poing. Tss, Juste un croche - pieds et avant de venir me placer a califourchon, mordant [par mordiller, c'est bien mordre xD] sa levre jusqu'au sang avant de lui decoiffer les cheveux et ouvrir son calbut.

- Tu sais, Cheri. J'espere que ca te serviras de lecon, car la prochaine fois, je serais certainement pas aussi, gentil.

Je regardais une des filles avant de sourire, et lui prendre son verre de vodka-citron et une sacree dose de glacon. Et pour jouer les sadique. Comme mes ongles manucurer etaient assez coupant, je lui eraflais l'entrejambe en pasant ma main sous l'elastique de son boxer, a l'abri des regard en me penchant un peu, le sourire narquois, mesquin et odieusement sadique aux levres, avant de boire un coup dans le verre, le lechant les levres, avant de verser le contenue dans son boxer, pile ou y a son eraflure fraichement fait. Sadique ? Diabolique ? Un monstre ? Un Chien ?

- Bonne soiree, Cheri.

Disais-je sur un ton sarcastique, avant de me redresser.

- Sale fils de catin. T'es bon qu'a te fare ba*ser par des pd comme ton frere, connard.

Quand j'entendis ca, ce fut la guerre. Tout le monde reculaient d'un cran et les bar - mans se planquaient meme sous les comptoirs. Puis, on pu meme entendre une voix de fille gueuler dans toute la salle.

- T O U S A U X A B R I S !!!!!!!

Et Hop, tout le monde se collent contre les murs, sous les tables, sur la scene, et meme les gardiens a l'entree, qui nous connaissaient plutot bien, n'osaient meme pas bouger le petit doigts. D'un air enerver, j'empoignais le mec par le tee-shirt avant de lui foutre une droite. Puis, une gauche et enfin, un coup de pieds dans le torse avant de le trainer jusqu'au milieu de la salle. Le lachant brutalement et d'un air furieux.

- Toi, c'est ta mort que tu cherche. Ca t'apprendras a jouer les plus forts, tu sais pas sur qui t'es tomber. Et je vais meme te renvoyer dans la tombe de ta mere, capter ?

Quand il semblait bon a ramener aux urgences, les deux gardiens a l'entree venaient quand meme me stopper pour me dire qu'il avait eu son compte, alors que moi, je m'essuyais la levre, avant de rejoindre mon frere a l'exterieur, d'un air essoufler.
- Affaire regler.

Disais-je en voyant l'ambulance arriver xD.

ChapterThree « J'ai sali les amants de ma langue de serpent »

Il y a toujours quelque chose de différent qui tourne mal
Le chemin que j'emprunte est la mauvaise direction
Putain, il y a toujours quelque chose qui s'accroche
Quelqu'un peut-il m'aider à améliorer les choses ?

"Les instants sont morts, je n'entends aucun cri
Les visions abandonnées à l'intérieur de moi se fanent lentement"

La reconnaissance, la gentillesse, la politesse, c'est tellement abstrait comme monde pour lui. D'où est l'intêret de remercier, d'être gentils et d'en plus reconnaître qu'on lui est venue en aide. Quand il us vent de ce qu'il se passait à l'intérieur de la boîte il ut qu'une seule envie: dégager et partir, loin, très loin d'ici. Lui, se sentait con. Jamais au grand jamais il aurait dut se laisser avoir par les mots de l'abbrutis. C'est une erreur profonde. C'est aussi pour ça qu'il l'avait à peine toucher. C'est pas son genre de se battre pour ça. C'est débile, c'est ridicule et c'est immatûre. L'air rageur et terriblement contrarier, il sortit une clope de sa poche et l'alluma le plus rapidement possible que ses tremblements nerveux lui permettait. Quand il sentit le tabac pourrir ses poumons, il se sentit enfin apaiser. C'est dingue comme certaines choses peuvent vous calmez en trois secondes chrono, surtout quand ses choses là, signe votre arrêt de mort. Mais c'est bon, tellement bon. Lorsqu'il vit son frère sortir, il s'éloigna de lui, s'arrêtant à plusieurs mètre de là pour tirer de nouveau une taffe. Les embulances arrivé, pressé. Ridicule, c'est assez aller aussi loin que ça? il se retourna pour voir un brancart et un homme au dessus. Celui qui l'avait insulté, justant un coup d'oeil enigmatique à son frère, il écrasa la clope sous son pied et se dirigea vers l'homme. Ce qu'il se passa là bas par contre, reste un immense mystère, on le vit juste faire un signe au embulancier pour se pencher vers l'homme est apparement lui murmuré quelques mots. Quelques minutes après il revint vers son frère et au loin, des sanglots étouffé retentissez, tendit que le propriétaire des larmes se faisaient embarqué pour être emmené à l'hôpital.

"Bouge, avec ce que tu as fais, la police risque de rapliquez, que tu t'appelles bright ou pas, la loi est la même pour tout le monde."

D'ailleurs en parlant de flic, ils arrivent, Aaron reconnaîtrais la sirène entre tous. C'est pour ça qu'il empoigna le bras de son frère et l'entraina dans sa course. C'était presque un habitué des courses folles. Pas tellement halletant ni tellement fatigué, il s'arrêta dans une ruelle et se pencha, reprenant le peu de souffle qu'il avait perdue. Se relevant rapidement il sortit une autre clope sa troisième de la soirée, mais pour ce qui est de la journée...il observa le paquet tout neuf un instant, il a arrêté de compter. Aaron l'alluma tira une taffe et s'approcha de son frère, son air froid sur la figure, auquel même lui, Faustin, doit être habitué. C'est connue en même temps. On verra jamais Le bright sourire à pleine dent ou courire dans tout les sens en gueulant son bonheur. Mais on s'y habitue à force, sa fait mal, ses parents ont sûrement pleurer en réalisant que même si Aaron tient à eux, c'est pas le jeune homme qui le dira, ni qui le prouvera. Faut tout deviner. Et c'est sûrement ça qui fait mal. Comme maintenant, quand Aaron poussa violement Faustin, l'air rageur. Fallait deviner qu'il n'était pas en colère, mais inquiet et déçu.

"Putain t'es bête ou quoi?! La prochaine je me barre et je laisse les flics t'embarqué. Comme ça quand nos parents seront au courant, ils seront fière de toi! ils ont pas besoin d'un deuxième gosse à problème, je remplis déjà assez bien la place"

Il s'éloigna et tira nerveusement sur la clope. C'est terrible. A l'entendre on croirait presque qu'il regrette de l'avoir obligé à courire avec lui pour 's'enfuir', mais c'est sa manière à lui de lui dire "ho, je m'étais inquiété pour toi". Mais franchement, il préfère l'insulté plutôt que de lui dire ça. C'est plus Aaron. Et si Faustin pense qu'il a une dent contre lui, c'est t'en mieux. Il laissa son dos se caller contre le mur et pencha sa tête, observant le ciel. C'est moche, ils trouvent quoi de beau les gens aux nuit étoilés? Il soupira, baissa les yeux et réfléchis un instant avant de lever la tête vers Faustin.

"Faust' ce mec, c'était qu'un inconscient qui n'avait rien compris à la vie...l'avoir défoncé, l'avoir rapproché de la mort et revenir fière de cette exploit c'est...Dégueulasse."

Ouai, c'est exactement ça que penser Aaron, c'est dégueulasse, corrigé un mec c'est une chose, il l'a fait, il le regrette, parce que selon loin c'est une erreur, mais aller aussi loin, pour quelqu'un qui est juste inconscient et qui à le simple désir d'attirer les projecteurs sur sa personne. C'est dégueulasse. Mais il doit bien avouer qu'il avait bien été amoché cette abbruti. Faustin n'y est pas aller de main morte...d'ailleurs, Aaron repensait à ce qu'il lui avait dit. Il n'avait pas put s'empêcher de faire ce geste là. C'est un peu de lui en même temps. Agir dans l'ombre. Et ce mec qui se met à chialer juste après. C'était bien jouer. Sa donner l'impression qu'une fois encore, il a jouer le connard de service, comme d'habitude.

" Sur le chemin, pense à un truc pour moi s'il te plait. Je suis certains que tu as une famille, une soeur, une mère, voir même un père. Imagine les se faire insulté, se faire frapper, finir en larmes parce que quelqu'un les as traité, et maintenant imagine toi en face d'eux. T'es ce mec, tu m'entends? t'es de la même race que l'enfoiré qui pourait les faire souffrir, les frapper, les insultés...et tout de suite le monde est différent hein? Vous réfléchissez jamais de cette manière c'est marrant. Vous vous permettez de jouer à ce jeu là sans regarder l'affaire à l'envers.."

Et me voila coller brusquement contre un mur, mon petit frere face a moi, je roulais du regard, posant mon regard bleu - turquoise dans le sien. Avant de soupirer et regarder ailleurs, avant de me mordiller la levre.

- ouais, c'est ca, t'as raison, j'ai tord, je ferme ma gueule pendant que tu l'ouvre, que je m'efface pour te laisser la premiere place. Si c'est ce que tu souhaite... je te la laisse la place, tu me gonfle a me faire toujours la lecon. je suis pas Alex ou encore moins Steph'... Je ne suis que ton grand frere bordel, t'es pas mon pere. Fou - moi la paix, je vis ma vie, comme je le veux v_v"

Je soupirais de mecontentement, de nervositer et surtout de frustration. Aaron est le seul mec avec qui, je prends tout en compte, paroles blessantes, vexantes ou compliments en compte. Je baissais le regard avant fermer les paupieres. Pour ensuite le regarder avec un regard brillant de larmes.

- J'allais pas le laisser m'insulter, et encore moins nos peres, ils ont deja assez souffert comme ca, tout comme moi aussi. J'en peux plus d'entendre ces mots vulgaires m'agresser, je lui aurais laisser la vie sauve... ca aurait ete moi, sur ce brancard et tu aurais fait quoi ? hein ? Tu en aurais rien a cirer car tout ce qui t'importe a toi, c'est ton ptin de plaisir personnel, je t'ai jamais vu pleurer, ni meme sourire. T'es un ptin de mec insensible...

Soudainement, je sentis mes larmes s'ecouler sur mes joues, en faite, j'avais craquer, je le regardais honteux mais frustrer, les joues a la fois de colere et de honte. Puis, sans rien dire, au risque qu'il me repousse apres, que ce soit normalement ou brutalement, je pris quand meme le soin de me coller a lui, l'enlacant dans mes bras.

- Je m'escuse... je m'escuse.... totalement, petit frere...

» Aaron Bright. - Ton obsession chéri -
» Que faire? [Evan]
» On a qu'a faire connaissance! (Orson)
» Aaron.B "Aller Chéri(e) viens je mord pas."
» Allez vous faire fouttre avec vos coeurs . [ Tyler ]