[ Présentation de : Brandon Killen ]-
Infos' Personnelles. Pseudo' : Fuji
. Prénom (*) : On a oublier de m'en donner un...C'est bête.
. Age (*) : de 1 à 100 ans : à gauche tu chauffes, à droite tu gèles.
. Sexe (*) : J'ai besoin d'une vérification.
-
EMO liiiife. Age : 18 ans
. Prénom : Brandon
. Photos [ Facultatif ] :
. histoire [ 10 lignes seraient bien mais pas obligées ] :
« Tu as déja eu l'impression que le monde te laisserait seule derrière lui, la sensation qu'en regardant chaque recoin de la pièce que tu occupes l'espace se rétrécit, que dans chaque miroir ton reflet joue le rôle de ta misère sans aucun spectateur, sans que cela ne t'apporte plus aucun sentiment de bien, de penser que rien ne t'aime et que tu n'aime personne, que tout ce rien ne sera que le vide de ta propre existence ?»
"Bonté, je l'ai vu venir
Ou du moins je prétendrai l'avoir vu
Mais en vérité je manque de mots"
Il n'y a pas vraiment de mot pour traduire l'absence, il n'y a qu'un vide, comme un oublie dans l'existence, un trou noir, une place innocupé à nos côtés. C'est dure de se dire que nos rêves communs se sont arrêter là, au sommet de cette immense immeuble. Sa fait mal de se dire que c'est probablement la dernière fois que je toucherais le sommet du monde à tes côtés. Mais le plus dure à accepter, c'est aussi le faite que c'est la dernière fois qu'on monte aussi haut, toi et moi. On a tous un rêve dans la vie, un but, un stimulant qui nous pousse à avancer, à dépasser nos limites, le tiens c'était ça, vivre chaques jours dans la peur que se soit le dernier. Personnellement, j'ai vécu pendant une bonne partie de mon enfance sans but à atteindre. J'avais pas de rêve, je n'étais rien d'autre qu'un gosse rongeait par l'orgueil, la prétention et l'égoisme. J'étais un déchet élevé par des parents indigne. Ils ne m'ont jamais donner ne serais-ce que le tier du bonheur que tu m'as offert tu sais.
Mais la vie que j'avais me suffisé. Seulement quand je t'aie rencontrer à l'école, toi, le petit gosse de famille modeste, perché sur le platane de la cours. Tu m'avais intriguer. Tu n'étais pas riche, t'avais pas les derniers jeux à la mode, t'avais pas franchement beaucoup d'ami et les filles ne te couraient pas après. Alors pourquoi tu étais heureux?! Sur le coup, j'avais rien compris. Mais maintenant, avec le recule, je comprend mieux que personne. Toi t'avais un rêve pour te guider. Au début je t'aimais pas beaucoup. J'étais jaloux de ta vie dans un sens. Tes parents venaient te chercher le soir à pied, toi tu n'avais pas de chauffeur, pas de voiture, mais au moins c'était tes parents qui venaient et non un chauffeur en tenue ridicule. Puis le peu d'ami que tu avais s'inquiéter pour toi. Moi j'avais tout le monde à mes pieds, mais ils ne parlaient que de ma richesse. Jamais ils se sont enquis de mon bonheur.
De fil en eguille on est devenue ce que l'on est aujourd'hui, les meilleurs amis du monde.
Peu après tu m'as parler de ton rêve. Celui qui était devenue très vite le notre. Tu en avais besoin pour te sentir vivant. J'en avais besoin pour prouver que j'étais autre chose qu'un gosse de riche.
"- J'aime dépasser les limites, monter toujours plus haut, courir toujours plus vite et risquer ma vie. Plus tard je serais cascadeur. Pour pouvoir ressentir à chaque secondes l'adrénaline montait dans mes veines. Sa me donne l'impression d'être vivant tu sais.
- Entre amis, on se partage tout. Les rêves, c'est de même tu crois?
- Tu veux risquer ta vie? Toi le petit bourgeoie? Tu me fais rire tient!
- Arrête d'être aussi sarcastique. J'en aie besoin moi aussi. Pour prouver que j'existe, mais d'une autre manière. Je suis pas qu'un gosse de riche merde.
- Dans ce cas c'est à celui qui grimpera le plus haut. Cap ou pas cap d'escalader la façade du lycée?
- Cap!"
C'est ainsi que notre rêve à commencer. Grimper toujours plus haut, aller toujours plus loin, dépasser les limites. Il suffisait d'un coup de tête des fois. C'était dangereux. On aurait pus en creuver, mais qu'est-ce qu'on s'en foutait. Ce jour là aussi d'ailleurs on aurait pus y passer. C'est la première fois que j'escalader une façade d'immeuble. Mais aucun de nous n'est tomber, c'est évident qu'on a us peur, mon coeur semblait vouloir sortir de ma poitrine. Mais il n'ut rien. Mise à part un renvois de trois jours et la colère rouge de mes parents. Tu te rappelles de notre réaction? On c'est marré comme deux abbrutis. "Cap ou pas cap d'aller sur le toit de l'hôpital? - Tu veux prendre les escaliers ou...? - A ton avis?! -Cap" , " Sa te dit du saut en rapel? - Tu es assez bête pour me poser cette question alors que tu connais la réponse? - La politesse tu sais..." , " Ho le bourgoie sert à quelques choses, prend la moto cross que t'a donner tes parents, on va se lancer dans le sport extrême toi et moi!" , " alors le pauvre, on abandonne? - tait toi, je me concentre là! - Sa va c'est qu'un skate..."
En y repensant on en a fait de ses choses, on en a passer aussi du temps au poste de police, mais mes parents payer à chaques fois les amendes. Claquer de l'argent, sa leurs faisaient plaisir, même pour ses choses là alors et c'était pas pour nous déplaire.
Mais j'étais heureux tu sais. Je vivais chaque seconde comme si c'était la dernière. Et tu étais là, au prêt de moi.
Sauf qu'un jour on c'est ratté, sauf que ce jour là, t'a pas sut te rattraper et ce jour là tu es tomber. C'est ce même jour que nos rêves se sont effrondré. Parce que ce jour là, t'es mort tu sais. J'aurais pus tout lâcher, me morfondre, pleurer, laisser la douleur me détruire. C'est ce que j'ai fais dans un sens. Je me suis vider, je crois que j'ai jamais autant pleurer de ma vie. Mais tu sais qu'un truc comme ça aller arriver. Tu l'avais prédit. Après tout, lorsqu'on vit dans le risque, il faut savoir s'attendre à tout.
"- Brandon, si un jour je meurs, tu ferais quoi?
- Tu peux pas creuver comme ça, arrête, tu me fais peur!
- je suis sérieux Brandon. Et ce que je veux, c'est que si un jour j'ai un accident et que celui-ci soit fatale, tu continues comme même à vivre notre rêve. Sauf que ce sera, dès lors, seulement le tiens.
- je ferais ça, seulement si tu fais pareil...
- Marché conclus. le rêve avant tout n'est-ce pas?
- Tu devrais poser les pieds sur terre de temps en temps.
- Tu sais...je suis pas le seul à être suspendue dans le vide là..."
J'ouvre mon sac à dos et en sort l'urne qui contiennent tes cendres. Personnellement j'aurais voulue te voir sous terre, dans un cimetière. Pour que je puisse venir pleurer de temps en temps sous ta tombe. Mais faut bien que je respecte tes dernières volontés n'est-ce pas? Un sourire apparaît sur mon visage, tendit que je vide les restes de ton "corps" dans l'air, au dessus du vide. T'avais tout prévu en traitre.
« testament débile réservé à un crétin appeler Brandon. Ecoute moi bien le bourge, si je meurs, je veux pas finir dans un caisson [...] Je veux voler, être libre et continuer à dépasser les limites. Je n'aie rien à offrir, rien à laisser derrière moi de vraiment important. Cependant Je veux bien te donner mes rêves. Tout ce qui résume ma vie sera à toi. Surtout oublie pas ça Brandon. Tant que tu connais à dépasser les limites, on sera toujours ensemble dans un sens. »Sa m'avait touché, tu sais, j'ai fallis, je dis bien fallis pleurer. Mais je suis pas désespéré à ce point. Non je m'étais marrer. Y'a que toi pour lâcher des conneries pareil dans un testament...Griffoné derrière un contrôle de math. Mais tu vois, j'ai beau vouloir poursuivre nos rêves. C'est bien la dernière fois qu'on atteindra le sommet ici. Cette ville me rappelle trop de souvenir. Elle me dégoûte, sa me rapelle ta mort. Tu m'en voudras pas si je pars ailleurs? On m'a parler d'une ville, E.L Et je compte bien me barrer là bas.
l'aventure continue...
. caractere [ 5 lignes seraient bien mais pas obligatoires] :
je suis incapable de dire qui je suis vraiment dans un sens. En général, je passe pour un mec prétencieux, égoiste et sans coeur. C'est vrai que je me préoccupe pas vraiment des gens. Mais certains m'apprécie. Je pense surtout que je les impressionnent. Après tout, vous en voyez beaucoup vous des cascadeurs dans mon genre? Cincérement, j'ai pas d'amis. j'ai peur de m'attacher. Le mauvais caractère que tout le monde connaient m'aident beaucoup dans ce côté là. Pourtant, j'ai jamais été comme ça avec mon meilleur ami. On se lançait des piques, se disputait souvent c'est vrai, mais la plupart du temps, c'était pour se marrer. Je disais jamais non à une de ses étreintes, au contraire, c'était les moments que j'aimais les plus avec lui...après l'adrénaline. En faite je crois que je joue un rôle dans un sens. A moins que le garçon aggaçant mais attachant n'était réserver qu'à lui? j'en sais rien. La seule chose dont je suis sûr. C'est que je suis extrème. J'ai pas romput ma promesse. Je vais toujours au delà des limites tel quel soit. La vie est meilleure lorsque chaques jours risquent d'être le dernier. Ce dont j'en suis sûr par contre, et ça, tout le monde vous le dira. j'aime, un peu, beaucoup, à la folie la séduction. C'est presque, je dis bien presque, aussi beau que la peur!
. sex : Boy
. Comment as-tu connut E.L. ? : Sa commence par
Goo et sa fini
gle. Comment le trouves-tu [ Donnez une note /20 ] ? (*) : 17/20
. Seras-tu actif [ Dire combien de fois par semaine ] ? : 3 fois min'
. As-tu bien lu le règlement ? : Pour sûr.
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