Nylouuu chériie! =)

{ Le commencement de nouvelles aventures..

Ils attendaient patiemment, assis dans la salle d’attente. Se tenant par la main, espérant encore et encore depuis maintenant 9 mois. Ce fut les plus longues heures de leurs vies. Mais surement pas les dernières. Quand soudain retentit le son de la porte, les deux amoureux se relevèrent en cœur. Les larmes leurs montèrent au visage, tendis que fut pousser les premiers cris de la petite fille que tenait entre ses mains l’infirmière de service. Et oui, s’étais moi, qui montrait à peine le bout du nez. Dissimulée dans de douces et chaudes couvertures. J’étais à peine naissante que je fus déjà réclamé par les bras protecteur de mes nouveaux parents. Pourquoi nouveaux? Et bien, cette femme qui me tenait désormais dans ses bras. Elle n’aurait pus avoir d’enfant. Alors elle à fait appelle à une autre femme pour qu’elle aille l’enfant à sa place. Une mère porteuse voila tout…

{ Mon enfance difficile..

À cette époque, j’étais sage, très sage. Mes camarades à l’école me détestaient certes, mais je ne me laissais jamais abattre par eux. Ses gens qui mon accueillit à bras ouvert, étaient riche et surement des enfants pourri gâté. Puisque je le fus à mon tour. Ils aimaient parler d’argent, notre maison était grande et digne de rois et reine. Ma chambre faisait la même grandeur que ma salle de gymnase en entier. S’étais pourquoi les autres me détestaient. Il était possible qu’ils soient simplement jaloux. Mais au fond de moi je ne voulais qu’une seule chose. Avoir des amis sur qui compter. J’étais seul dans la cours de récréation, chaque midi je mangeais seule dans mon coin. Sans que personne ne m’adresse la parole. J’enviais les autres tout simplement. Le soir, pour rentrer chez nous, un homme venait me chercher dans une voiture luxueuse et noire comme le charbon. Ce n’étais ni mon père, ni ma mère. S’étais tout simplement quelqu’un que mes parents avaient engagé pour assurer les transports. Dans le fond, il était payé pour me reconduire en toute sécurité dans notre demeure. Il ne parlait pas, ne me souriait pas… Je ne lui faisais aucunement confiance.

{ Ma première désobéissance..

J’étais loin de me douter que mon adolescence serait bouleversée par plusieurs changements. Dont les voyages à répétition. Mes parents étaient de moins en moins à la maison. Ils passaient la plupart de leur temps à l’extérieur du pays pour je ne sais quoi de si important que de me voir grandir. Leur plus longue absence à été de deux ans si je me souviens bien. Entre temps je m’étais fais des amis par centaine que j’invitais à venir passer la soirée chez nous. Puis ça commença, les rumeurs au sujet de la richesse de mes parents. Et ainsi de suite. S’étais rendu que toute l’école en entier s’avait qui j’étais. J’organisais de plus en plus de party démentielle dont tout le monde s’en souvenais des mois et des mois. Lors de mes 15 ans, je fuguai, apprenant que mes parents n’étaient que de bon à rien. Sachant aussi qu’ils faisaient tout pour ne plus m’adresser la parole après tout ce que je leur avais fais subir auparavant. Je me tendis les cheveux plusieurs fois. Passant de blonds à noir, puis à maintenant. Je me rendis à plusieurs villes, avec le plus d’argent que j’avais pus voler à mes parents lorsqu’ils s’absentaient. Ça avait été la pire erreur jamais commise de me donner le code pour accéder au coffre fort de la maison. J’avais tout apporté avec moi, absolument tout. Il ne restait plus rien, à part une lettre écrit par un juge sur quoi ma garde leur avait été enlevée et que l’argent qu’ils avaient me revenais de droit pour le tort commis.

{ Mon arrivé..

Je pris un billet d’avion pour me rendre à un nouvel endroit. Pour refaire ma vie en tant que jeune de mon âge. J’ai peut être que 16 ans. Mais selon la loi, j’ai entièrement le droit de faire ce que je veux non? Et puis se n’est pas des parents cinglé qui vont me dire quoi faire désormais. Je ne leur appartenais plus. Je n’étais plus considérée comme « leur fille ». Même si je ne l’avais jamais été… Me voila à Emo life, d’où je compte bien y rester.

Le code est bon, te reste plus que le contenu, ma Niwiie! (L)